Comment cela fonctionne ?
La réalisation de versements complémentaires ou la mise en place de versements programmés n’est pas obligatoire.
L’assurance vie se compose de deux « poches » différentes, elle est dite multisupport :
Se constituer un patrimoine
Créer des revenus complémentaires
Préparer sa retraite
Anticiper sa succession
Un contrat d’assurance-vie multisupport se présente comme une enveloppe réunissant plusieurs types de supports différents, comme les fonds euros et les unités de compte. L’épargne versée par le souscripteur dans son contrat est alors répartie en fonction des attentes du souscripteur. Ce type de produit s’oppose à l’assurance-vie monosupport où le capital est investi sur un seul type de support, généralement un fonds euros sécurisé. Le contrat multisupport permet d’allier sécurité et rendement.
Les unités de compte (UC) sont des supports d’investissement proposés par les assureurs dans les contrats d’assurance-vie. Il existe une grande diversité d’unités de compte : actions, obligations, fonds communs de placement (FCP), OPCVM (Organisme de placement collectif en valeurs mobilières) ou encore SCPI (Société civile de placement immobilier). Concrètement, l’épargne investie via ces supports est placée sur les marchés financiers ou immobiliers.
Très connu et apprécié pour son côté rassurant, le fonds euros est un support d’épargne de l’assurance-vie. Il constitue le support privilégié des épargnants prudents qui recherchent la sécurité. En effet, les fonds euros garantissent le capital investi par le souscripteur.
Fiscalité très avantageuse
L’assurance-vie présente une fiscalité très avantageuse. Les avantages sont doubles puisqu’ils s’appliquent :
Bien que les plus-values obtenues via l’assurance-vie soient imposées par l’administration fiscale française, plus le contribuable laissera son argent longtemps sur son contrat d’assurance-vie, moins il paiera d’impôt. Cela n’empêche que l’assurance-vie génère des revenus qui doivent être déclarés et qui sont imposables au titre de plusieurs impôts.
L’impôt sur le revenu est dû, sur les intérêts reçus, à partir du moment où le souscripteur retire l’argent de son contrat (rachat partiel ou total).
Les gains doivent être déclarés en plus des revenus imposables. Selon le moment du retrait, le contribuable sera redevable d’un pourcentage plus ou moins élevé. Le souscripteur a le choix entre sa tranche marginale d’imposition (TMI) et le PFU (prélèvement forfaitaire unique). En cas de souscription au prélèvement forfaitaire unique (PFU), les barèmes sont les suivants :
Les prélèvements sociaux sont différents selon le support d’investissement (fonds euros ou unités de compte)..
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